Comment devenir chercheur associé CEREFREA

Le Conseil scientifique du Centre Régional Francophone de Recherches Avancées en Sciences Sociales (CEREFREA) a institué le statut de chercheur associé pendant la séance du 21 février 2014.

Suite à cette décision, vous avez la possibilité de devenir chercheur associé du centre, statut qui vous donne le droit, parmi autres, à la participation aux activités du CEREFREA, à l’accès aux sources documentaires du centre et à l’utilisation du titre de « chercheur associé du CEREFREA » dans vos relations avec des tiers. Durant toute la période où vous bénéficiez de ce statut, vous devez mentionner dans vos publications l’affiliation au CEREFREA. Vous pouvez lire les conditions d’éligibilité et d’autres informations sur le statut de chercheur associé ici.  

Pour déposer votre candidature, nous vous prions d’envoyer au directeur du CEREFREA, le Professeur Florin Țurcanu, un dossier comprenant une lettre de motivation, le CV, la liste des publications, le résumé de la thèse de doctorat ou une publication considérée comme représentative.

Adresse e-mail : bulletincerefrea@unibuc.ro


Munaf ABBAS

A compléter.


 Robert ADAM

A compléter.


Patricia APOSTOL

A compléter.


Cătălina AVASILENCEI

A compléter.


Mihaela BACALI

Diplômée de la Faculté de Lettres à l’Université de Bucarest, avec double spécialisation : langue et littérature roumaines – langue et littérature françaises, Mihaela Bacali a commencé son parcours académique en 2011 comme doctorante en Lettres, avec une thèse en littérature roumaine, sous la direction de Mme. Elena Zaharia-Filipaș, thèse intitulée Lucian Blaga în contextul literar și cultural al revistei Gândirea (Lucian Blaga dans le contexte littéraire et culturel de la revue Gândirea). Après la soutenance, qui a eu lieu en mai 2014, elle a continué son travail de recherche par une nouvelle thèse, cette fois-ci rédigée en français, ayant comme sujet la vie et l’œuvre de Margareta Miller-Verghy, une écrivaine roumaine francophone très peu connue, l’une des pionnières de la littérature féminine roumaine. L’objectif principal du projet de recherche est celui de récupérer la mémoire de cette écrivaine, à tort oubliée, et d’offrir une relecture susceptible de rétablir la place qu’elle mérite dans l’histoire littéraire roumaine et dans la galerie des écrivaines francophones, parmi celles déjà consacrées : Martha Bibescu, Elena Văcărescu, Iulia Hașdeu, Dora d’Istria. Cette seconde thèse est dirigée par Mme Cătălina Gîrbea, professeur à l’Université de Bucarest et par Mme Catherine Mariette-Clot, professeur à l’Université Stendhal, Grenoble 3, s’agissant d’une thèse en cotutelle. D’autres intérêts de recherche sont la notion d’ « écriture féminine », ainsi que les rapports entre la littérature et des domaines connexes comme la spiritualité, l’éthique, l’esthétique.


Camelia BOGDAN

A compléter. 


Laurent CAROZZA
 

Laurent Carozza est Chargé de Recherche au Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS). Ses recherches portent sur les relations qu’entretiennent les sociétés avec leur environnement, au sein du laboratoire Géographie de l’Environnement, unité mixte de recherche CNRS et Université Toulouse 2, Jean Jaurès. Archéologue de formation, il a suivi l’ensemble de son cursus à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales, où il a soutenu un doctorat au sein de l’école doctorale « Anthropologie sociale et Historique de l’Europe ».

Les recherches actuelles de Laurent Carozza s’inscrivent dans une perspective diachronique, depuis le Néolithique jusqu’à la période contemporaine. Il a placé le champ de la mutation au centre de son dispositif de recherche. Cette posture a pour objet d’appréhender les mécanismes d’adaptation qui caractérisent les sociétés, au moment où s’opèrent de profonds changements (notamment les changements climatiques globaux). Ces travaux portent sur la construction et la patrimonialisation des paysages durant les derniers siècles (anthropocène). Elles visent à identifier les moteurs des changements au sein d’espaces réputés « sauvages » ou naturels. Cette recherche a donné lieu à la rédaction de deux articles en cours d’édition sur « le rôle des idéologies dans la construction des paysages du delta du Danube » et « le Déluge, les savants et la mer noire : une nouvelle mythologie scientifique ? ».

Ses terrains de recherche sont variés, et englobent l’Europe occidentale et se développe, depuis quelques années, en direction des Balkans et de l’Amérique Latine et du Maghreb. Mais depuis maintenant plus de 10 ans Laurent Carozza travaille en Roumanie au sein de différents projets (PHC Brancusi, Mission Archéologique delta du Danube…) et il dirige un rétro-observatoire des relations société-environnement dans le delta du Danube.

Adresses e-mail : carozza.laurent@wanadoo.fr, laurent.carozza@univ-tlse2.fr

Projets : http://archeologie-danube.hypotheses.org


Sonia CATRINA

Sonia CATRINA, Docteur en Anthropologie sociale et culturelle de l’Université de Bordeaux II et Docteur en Sociologie de la Faculté de Sociologie et d’Assistance Sociale de l’Université de Bucarest, est chercheur associé auprès de CEREFREA et de CSIER-Centre d’Études pour l’Histoire des Juifs de Bucarest. Elle est également membre fondateur et manager de projets au CSMI-Centre d’Études Mémorielles et Identitaires et éditeur de MemoScapes. Romanian Journal of Memory and Identity Studies. Son domaine privilégié d’analyse étant l’identité, Sonia CATRINA s’intéresse aux reconfigurations territoriales, du point de vue des changements économiques, politiques et sociaux, dans des contextes qui lient la dynamique locale ou nationale à la globalisation. Ses recherches se focalisent sur la mobilisation des ressources qui servent aux acteurs à des affirmations et positionnements identitaires. Sa perspective sur l’identité qui suppose en même temps « appartenance » et « exclusion » lui permet d’analyser les constructions identitaires en relation aux situations de contact, d’interaction ou de conflit. Actuellement, son intérêt de recherche porte sur le paysage historique juif, un thème de recherche qui relie les discours sur le passé et l’identité avec les processus du patrimoine, le développement des communautés et le sens des lieux. La façon dont le passé est reconstruit à travers la mémoire est un autre intérêt majeur de la recherche de CATRINA. À cet égard, son étude actuelle « Symboliser la mort des (enfants) Juifs de la Transylvanie du Nord à travers le patrimoine et son appropriation sociale » lient son intérêt de recherche pour les processus de construction de la mémoire publique et la remémoration du passé difficile à travers les processus de patrimonialisation. Elle s’intéresse également à la mémoire des Juifs qui ont survécu à la déportation et aux procédés de transmission de la mémoire de l’Holocauste à la seconde et troisième génération.

Son profil académique


Diana COLCERIU
 

A compléter.


Pompiliu-Nicolae CONSTANTIN

Docteur en histoire (Université de Bucarest) et en sciences politiques (Université Libre de Bruxelles), Pompiliu-Nicolae Constantin a soutenu en 2013 une thèse de doctorat sous la direction de Mirela-Luminita Murgescu et Jean-Michel de Waele – Identité, altérité et sport dans la Roumanie communiste : la star minoritaire comme héros national. Il est titulaire d’un master en idées et mentalités et il a suivi les cours de l’Ecole Doctorale Francophone en Sciences Sociales.

Il a reçu des bourses accordées par l’Union Européenne et l’Agence universitaire de la Francophonie. Pendant son expérience belge, Pompiliu-Nicolae Constantin était membre du Centre d’Etude de la Vie Politique Bruxelles (2011-2012). Depuis novembre 2012 il est collaborateur permanent de la revue Magazin Istoric.

Ses projets de recherche visent l’histoire du sport et les aspects sociopolitiques du sport dans l’Europe de l’Est, l’histoire orale, l’histoire du communisme et les minorités ethniques en Roumanie. Il a publié plusieurs articles portant sur ces domaines et il est un participant actif à des conférences.


Vladimir CREȚULESCU

Vladimir Creţulescu est diplômé en histoire – spécialisation histoire de l’art (Université de Bucarest, 2008). Il est aussi diplômé en réalisation de films (Université Nationale d’Art Théâtral et Cinématographique, Bucarest 2011) et il détient un master en études médiévales (Université de Bucarest, 2010). Il est docteur en histoire et en science politique (2016), avec une thèse en cotutelle codirigée par Viorel Panaite (de la part de l’Université de Bucarest – côté histoire) et par Philippe Claret (de la part de l’Université de Bordeaux – côté science politique). Sa thèse, portant sur la construction identitaire nationale d’une communauté ethnique, s’intitule « Les origines du discours identitaire Aroumian-Roumain (1770-1878): la construction d’une identité nationale ».

Vladimir a été assistant de recherche au CEREFREA (2016), muséographe au Musée Municipal de Bucarest (2017-2019) et enseignant associé à la Faculté d’Histoire de l’Université de Bucarest (2016-2019). A présent, il est lecteur des universités dans le département d’Histoire Antique, Archéologie et Histoire de l’Art de l’Université de Bucarest – Faculté d’Histoire (depuis 2019). Il y enseigne l’histoire de l’art roumain moderne, l’histoire des arts décoratifs et l’histoire de l’art médiéval européen.

Ses intérêts de recherche sont aussi diverses que sa formation : Vladimir travaille sur l’histoire moderne du Sud-Est européen (XVIIIe – XIXe siècles), sur les théories de la nation et du nationalisme, sur l’histoire de l’art européen du haut Moyen Âge, et aussi, sur l’histoire de l’art roumain moderne (XIXe et première moitié du XXe siècle).

Liste sélective de publications:

• Vladimir Creţulescu, « Le conflit gréco-roumain sur la question aroumaine (1860-1905) », dans Les constructions identitaires dans les espaces francophones de l’Europe Orientale et de l’Afrique, Ecaterina Lung, Yahia Abou El Farah, Corina Iosif, Daniela Zaharia, Simona Corlan (eds), Université « Mohammed V » de Rabat et Université de Bucarest, Publications de l’Institut des Études Africaines, Rabat, 2015, pp. 315-324.

• Vladimir Creţulescu, « L’ethnicité des Aroumains dans les récits des voyageurs français dans les Balkans (1800-1860) », Études balkaniques – Recherches interdisciplinaires sur les mondes hellénique et balkanique – Cahiers Pierre Belon « 1989 », no. 21 / 2015-2016, L. Bénou et G. Valtchinova (dirs.), Association Perre Belon, De Boccard, Paris, 2017, pp. 195-212.

• Vladimir Creţulescu, « Nationalisme civique vs. nationalisme ethnique, partant de Jean-Jacques Rousseau et Johann Gottfried Herder: opposition ou complémentarité ? », Historical Yearbook, Vol. XI-XII / 2014-2015 (numéro double), Nicolae Iorga History Institute – Romanian Academy, Ovidius University Press, Constanţa, 2015, pp. 41-70.

• Vladimir Creţulescu, « The Aromanian-Romanian National Movement (1859-1905): an Analytical Model », dans Ius Vallachicum, Ilona Czamańska et Marius Diaconescu (eds), Balcanica Posnaniensia. Acta et studia, Vol. 22, no. 1 / 2015, pp. 99-119.

• Vladimir Creţulescu, « The Paleochristian Churches and Mosaics of Ravenna: Examples of Byzantine or Late Roman Art? », Caiete ARA. Arhitectură. Restaurare. Arheologie, no. 10 / 2019, Editura „Arhitectură. Restaurare. Arheologie”, Bucureşti, 2019, pp. 223-234.


Corina DOBOȘ
 

A compléter.


Dragos DRAGOMAN

Diplômé de l’Université de Bucarest en sciences politiques (2000), Docteur en sociologie (Université Babeș-Bolyai de Cluj, 2007), avec une thèse sur le capital social et la démocratie en Roumanie. Depuis 2001, enseignant-chercheur et maître de conférences à l’Université Lucian Blaga de Sibiu, Département des sciences politiques.

Il a travaillé dans des équipes de recherche roumaines et étrangères sur les valeurs des jeunes et les Capitales Culturelles Européennes. Le dernier projet, une recherche comparée de l’économie sociale et solidaire en Roumanie, en France et au Maroc (FP7 – Marie Curie Actions – People – International Research Staff Exchange Scheme, no. 269228, Value Analysis of Local Utilities of Enterprises from Social sector) vient de finir en février 2016.

Ses intérêts de recherche sont les relations ethniques, les partis et les élections, le capital social, la géographie politique et la démocratie locale.

Publications récentes :

Dragoș Dragoman, Bogdan Gheorghiță, “Regional design, local autonomy and ethnic struggle : Romania’s syncopated regionalization.” Europe-Asia Studies, vol. 68, no. 2, 2016, pp. 270-290.

Dragoș Dragoman, “Mapping Local Democracy in Romania”, in Ugur Sadioglu, Kadir Dede (eds.), Comparative Studies and Regionally-Focused Cases Examining Local Governments. Hershey PA: IGI Global Books, 2016.

Dragoș Dragoman, Sabina-Adina Luca, Bogdan Gheorghiță, “Sibiu – European Capital of Culture – A New Brand for Romania ?” Proceedings of the 9th Interdisciplinary Conference of the University Network of the European Capitals of Culture, 2016.

Dragoș Dragoman, Sabina-Adina Luca, Bogdan Gheorghiță (eds.) Faits culturels et dynamique territoriale / Cultural Issues and Territorial Development. Sibiu : Presses de l’Université Lucian Blaga de Sibiu, 2016.


Alexis FOURMONT
 

Maître de conférences en droit public à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Alexis Fourmont a publié en juillet 2019 sa thèse de doctorat sur L’opposition parlementaire en droit constitutionnel. Étude comparée : France-Allemagne (LGDJ), honorée du Prix de thèse de l’Assemblée nationale en 2017.

S’inscrivant dans une approche délibérément comparatiste, ses travaux scientifiques portent sur le droit constitutionnel, le droit électoral, le droit parlementaire et les finances publiques notamment.


Daniela ROVENȚA-FRUMUȘANI

Daniela ROVENȚA-FRUMUŞANI  est  professeure  émérite  à l’Université de Bucarest, Faculté de Journalisme et de Communication. Elle a fondé et actuellement codirige   le programme de master intégralement en français Medias, Développement, Société (en collaboration avec l’université Lyon 2 Lumière) : elle est aussi membre de l’École Doctorale en Sciences de la Communication de l’Université de Bucarest et de l’École Doctorale Interdisciplinaire de l’Université de Bucarest. Elle a dirigé 15 thèses de doctorat en sciences de la communication (domaines : analyse du discours, sémiotique, études de genre). Spécialiste en analyse du discours, sémiotique et études de genre, elle est l’auteure de 6 livres (auteure unique),de plus de 80 études et articles publiés dans des revues à comité de lecture; elle a dirigé et édité 5 publications (livres et numéros de revues internationales). Elle est membre de l’AIS (Association Internationale de Sociologie) et membre du comité de direction de RC14 Réseau des chercheurs en sociologie de la Communication depuis 2010, de la IprA (Association Internationale de Pragmatique, AISLF (Association Internationale des Sociologues de Langue Française) et des comités scientifiques des revues Recherches féministes, Communication, Essachess, French Journal for Media Research, Styles of Communication.


 Iulia HAȘDEU
 

A compléter.


 Alexandra ILINA
 

Alexandra Ilina est titulaire d’un doctorat en Littérature et civilisation française obtenu en 2016 à l’Université Sorbonne Nouvelle-Paris 3. Sa thèse, rédigée en cotutelle, a été dirigée par Catalina Girbea (Université de Bucarest) et Michelle Szkilnik (Paris 3).

La version révisée de sa thèse, La hiérarchie : entre texte et image dans le Tristan en prose, a été publiée aux éditions Classiques Garnier en 2020.

En 2019, elle a obtenu la bourse du Collège Nouvelle Europe, pour un projet sur la figure de Narcisse dans la littérature française médiévale. Elle dirige depuis 2019, avec Hartley Miller (Princeton University) et Alex M. Călin (Université de Bucarest), l’atelier « Reverdie », hébergé par le CEREFREA-Villa Noël.

En 2019, elle a gagné, avec Jérémy Vercken de Vreuschmenn, du financement de la part de l’AFCN pour organiser une exposition sur l’histoire du quartier Vatra Luminoasă de Bucarest à l’ICR Paris. Le catalogue bilingue de l’exposition fera l’objet d’un lancement à la librairie parisienne Volume. L’exposition sera ouverte à partir du 2 novembre et jusqu’au 18 décembre 2020.


Andreea LAZEA
Licenciée en philosophie de l’Université de Bucarest  et docteur en anthropologie et sociologie de l’Université de Bucarest et l’Université de Bordeaux Segalen, Andreea Lazea est maître assistant à la Faculté d’Art et Design, l’Université d’Ouest de Timisoara et enseigne des cours d’anthropologie générale, d’anthropologie de l’art et du patrimoine et d’esthétique.

Ses principaux thèmes de recherche portent sur le patrimoine matériel, la patrimonialisation et l’art public en Roumanie et dans la région.  En 2012, elle a publié les résultats de la recherche doctorale dans un livre intitulé « Pour une approche anthropologique du patrimoine et de la patrimonialisation. Perspectives sur les monuments historiques en Roumanie » (Iasi, Ed. Lumen).  Entre 2013 et 2014 elle a bénéficié d’une bourse postdoctorale du Conseil National de la Recherche Scientifique pour mener une recherche sur l’art public roumain des années ‘70 et ‘80 et les logiques sociales sous-jacentes à sa production. Le volume collectif qui en est issu en 2015 s’appelle « Arts, Society and Politics in (Post) Socialism » (Editions de l’Université d’Ouest de Timisoara).

Parmi d’autres publications récentes, on retrouve « Evolution of ’cultural heritage’ and ’historical monument’ in Romania », en Vasile Docea (ed.), Paths to Belonging. Constructing Local Identity in Banat by Means of Monuments, Cultural Heritage and Historiography, Baden-Baden, Nomos, 2016 ; « Public Art between Past and Future », en Andreea Lazea (ed.), Arts, Society and Politics in (Post) Socialism, Timisoara, Editions de l’Université d’Ouest de Timisoara, 2015 ; « Etudier la patrimonialisation en Roumanie: principaux enjeux et défis », en Rodica Zane, Philippe Claret (eds.), Les sciences humaines et sociales dans le sociétés en transition. Recueil d’études en hommage à Pierre Bidart, Editions de l’Université de Bucaresti, 2015 ; « Memory and uses of an iconic building – the People’s House from Bucharest », en Martha Rabikowska (ed.), The Everyday of Memory. Between Communism and Post-Communism, Peter Lang, 2013 ; « Public Art in Post-Socialist Romania. The Cases of Bucharest and Timisoara », en Zivot Umjetnosti, 94, 2014.


Alexandra LIȚU

Licenciée en Lettres Classiques à l’Université de Bucarest, Alexandra Lițu est titulaire d’un doctorat en Histoire à la même université. Spécialiste de l’histoire grecque ancienne, sa thèse porte sur l’épigraphie de la religion grecque. Elle a effectué des stages de recherches à Rome et à Athènes. Elle enseigne des cours d’histoire grecque à la Faculté d’Histoire (Université de Bucarest) et participe aux fouilles archéologiques d’Istros, une cité gréco-romaine aux bords de la Mer Noire. Elle est membre du Centre interdisciplinaire de recherche sur les sociétés anciennes et du SEMS. Spanish Early Modernity Studies (LLS-UB). Ses publications portent sur la culture matérielle des colonies grecques, sur Homère et Platon, et sur la réception de l’Antiquité gréco-romaine. Actuellement, elle développe des projets de recherche sur les guerriers et leurs armes dans les épopées d’Homère (en collaboration avec Alexandra Țârlea) et sur les objets et leur matérialité dans les cultures de l’Antiquité gréco-romaine.


Ioana MARCU

Diplômée de l’Université de Bourgogne (Lettres Modernes) (2005) et de l’Université de l’Ouest de Timişoara (2006), Titulaire d’un master en linguistique et didactique (2009), Docteur de l’Université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis en littérature française (thèse soutenue en 2014 portant sur La problématique de l’ « entre(-)deux » dans la littérature des « intrangères » des années 1990-2008).

Elle est maître-assistante à la Faculté des Lettres, Histoire et Théologie de l’Université de l’Ouest de Timişoara, Roumanie. Elle a obtenu la qualification aux fonctions de maître de conférences 09 section CNU (Langue et littérature françaises).

Ses recherches portent sur la littérature issue de l’immigration maghrébine, la littérature des descendants de harkis, les littératures francophones (Maghreb et Afrique Noire), l’écriture féminine, la langue d’écriture, la littérature du déplacement.

Publications récentes :

Marcu, Ioana, « Multiformité du confinement dans la littérature issue de l’immigration maghrébine », in Studii şi cercetări filologice. Seria limbi romanice, no 27, 2020, p. 135-151.

Marcu, Ioana, « Proximités et ruptures dans la littérature issue de l’immigration maghrébine », in Valy Ceia (coord.), Quaestiones romanicae. Lucrările Colocviului Internaţional Comunicare şi cultură în Romania europeană (VIIIe édition / les 14-15 juin 2019), vol. I, Szeged, Jatepress, 2020, p. 381-397.

Marcu, Ioana, La problématique de l’« entre(-)deux » dans les littératures des « intranger⸱e⸱s », Paris, L’Harmattan, 2019.

Marcu, Ioana, « Des « non-lieux » aux « lieux de mémoire »  dans la  littérature issue des immigrations », in Annales de l’Université de Craiova, Série Langues et Littératures romane, XXIII, no 1/2019, p. 195-210.

Marcu, Ioana, « Blédophilie et blédophobie comme possibles « réponses » à l’exilience », in Litera: Journal of Language, Literature  and Culture Studies,  Vol. 29, no 2, 2019, p. 177-191.


Solange MASLOWSKI

A compléter.


Alexandru MATEI

Alexandru MATEI est titulaire d’un doctorat en co-tutelle à l’Université de Bucarest et l’EHESS de Paris (2007) sur La Représentation de l’espace dans les romans de Jean Echenoz. Il a réalisé une recherche post-doctorale sur l’histoire de la télévision roumaine socialiste au Centre d’Excellence dans l’Etude des Images (CESI) auprès de l’Université de Bucarest (2010-2013), recherche poursuivie au Collège Nouvelle Europe (NEC) en 2013-2014 et durant le projet récemment commencé Télévision en Nation en « semi-périphérie » européenne (dirigé par Mme Romina Surugiu), qui mobilise des chercheurs de Sofia et de Namur.

Il a co-organisé, sous l’égide du CEREFREA, le colloque Roland Barthes. Usages, détournements et mythologie en Europe de l’Est, avant et après 1989. Récipiendaire d’une Bourse de la Ville de Paris, en 2011, il avait entamé alors une recherche sur le séjour roumain de Roland Barthes, 1947-1949.

Il a publié Les Derniers jours de la vie de la Littérature, Bucarest, Cartea Romaneasca, 2008 (Prix de l’Association Générale de Littérature Générale et Comparée de Roumanie), un recueil d’essais sous le titre Le Tombeau du communisme roumain (Bucarest, IBU Publishing), la version remaniée de sa thèse (Jean Echenoz et la distance intérieure, Paris, Harmattan, 2012) et Une Tribune captivante. Télévision, idéologie, société dans la Roumanie socialiste, 1965-1983 (Bucarest, Curtea Veche, 2013).


Daniela MĂRIUCUȚA

A compléter.


Julia NDIBNU-MESSINA

Julia Ndibnu, Professeur premier grade à l’Université de Yaoundé I, est membre du groupe d’experts IFADEM et chercheure associée au CERDOTOLA et au CEREFREA. Ses recherches se focalisent principalement sur la didactique des langues et les TIC. Sociolinguiste appliquée aux situations de plurilinguisme, elle a obtenu des bourses du CODESRIA pour finaliser sa thèse. Elle a également bénéficié du soutien de l’AUF et d’IFADEM pour mener des projets centrés sur les usages du numériques pour l’enseignement des langues secondes et africaines.

Les recherches actuelles de Julia Ndibnu-Messina portent sur les variations du français, projet soutenu par l’OIF et les formations des enseignants de langues à l’usage des outils numériques de manière pédagogique. La formation des formateurs et la place des élèves pendant les enseignements des langues restent son champ d’investigation. Il s’agit d’étudier les constructions et déconstructions identitaires et socioculturelles qui influencent l’apprentissage des langues et leur cohabitation. L’analyse des situations corollaires qui agissent comme une interface dialogique interagissant avec les facteurs susceptibles de métamorphoser les situations d’apprentissage des langues sont également dans ses prérogatives. Parmi ces situations, le niveau de développement des langues africaines qui ne facilite pas leur insertion pédagogique et surtout une exploitation numérique.

Auteur d’une trentaine d’articles, d’une dizaine de chapitres d’ouvrages, de 5 ouvrages et de 2 revues en co-édition, Julia Ndibnu encadre des Masters et aujourd’hui des thèses auxquelles elle voudrait impulser une opportunité d’ouverture sur les nouvelles approches pédagogiques. Elle préside le TELACH, un réseau de chercheurs dont les travaux sont centrés sur les études linguistiques, didactiques et technopédagogiques avec comme option supplémentaire, les humanités digitales/numériques.

Lien pédagogique


Lidia PRISAC

Lidia PRISAC est actuellement chercheur supérieur au Centre d’études encyclopédiques et à l’Institut du Patrimoine Culturel du Ministère de l’Éducation, de la Culture et de la Recherche de République la Moldova à Chisinau. Elle a débuté ses études de troisième cycle à l’Institut d’Histoire (ASM, 2002–2005). Au cours de cette période, elle a également travaillé comme chercheur à l´Institut de Recherche Interethnique. Aussi, elle est devenue titulaire de trois masters (en histoire [2002], en études sociales [2007] et en journalisme [2012]). En 2013, elle a défendu sa thèse de doctorat sur Les relations interethniques en République de Moldova (1989–2005). Après la soutenance, elle a continué son travail de recherche par un nouveau sujet concernant le peuple et les réfugiés arméniens. Ses recherches traitent de le fuite des Arméniens après le génocide déclanché en territoire ottoman et à la suite de la disparition de l’Empire Russe et l’apparition, par « extension » territoriale, de l’Union Soviétique. Le projet de recherche met en valeur le destin de plus de 30 000 réfugiés arméniens dans la Roumanie de l’entre-deux-guerres.

Elle est lauréate du Programme Atlas offert par La Fondation Maison des Sciences de l’Homme en 2017. Depuis 2016 elle est chercheur associé au CEREFREA Villa Noël.

Publications récentes :

« Exodul armenilor după genocid şi sovietizare în România regală (1915/1918–1924) » dans The 1st Annual Kurultai of the Endangered Cultural Heritage – AKECH 2018, Constanța, p. 85-99 ;

« De la Casa Armeano-Gregoriană de Rugăciuni la Biserica Ortodoxă din Orhei », dans V. Arapu, A. Petrencu, C. Ciucanu (ed.), In memoriam Gheorghe Palade, 1950–2016, Chișinău, Bons Offices, p. 557-572 (co-auteur);

« Minoritățile naționale și Unirea Basarabiei cu România. Poziția comunității armene », dans 100 de ani de la Unirea Basarabiei cu România. Rolul şi contribuţia lui Alexandru Marghiloman. Volumul sesiunii de comunicări ştiinţifice, Buzău, 22–23 martie 2018, 2018, Buzău, Mad Linotype, p. 53-66.


Ana Maria RĂDUCAN

Ana-Maria Răducan a une licence en Lettres Classiques et un master en Etudes Médiévales à l’Université de Bucarest. Elle est titulaire d’un doctorat en Philologie à la même université (2015) sur les significations du terme eros dans l’oeuvre du mystique byzantin Saint Syméon le Nouveau Théologien. Sa recherche doctorale a reçu un prix d’excellence offert par l’Association scientifique Ad Astra (http://premii.ad-astra.ro/?p=334). Elle a complété sa formation par des stages à l’Université de Hambourg, à Central European University de Budapest, à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales et à la Fondation Hardt, Vandoeuvres. Actuellement, elle a obtenu une bourse de recherche postdoctorale « Vasile Pârvan »  à Rome. Elle s’intéresse à la littérature et à la société byzantine de la période moyenne.


Publications choisies

Semnificații ale termenului eros la Sfântul Simeon Noul Teolog, Editions de l’Académie Roumaine, Centre d’Etudes Transylvanes, Cluj, 2015.

« Significations de l’eros chez Saint Syméon le Nouveau Théologien » , L.M. Ciolfi, J.Devoge (éd.), Porphyra, Rencontres des Doctorants en Etudes Byzantines, Paris, 2016, pp. 30-36. (https://goo.gl/mWr86N

«Mania erotike în Argonauticele lui Appolonios din Rhodos » (« La folie d’amour dans les Argonautiques d’Appolonios de Rhodes » ), L. Franga, R. Grigoriu (éd.), Nova Studia Classica : nova series. Vol. 1, Editions de l’Université de Bucarest, 2014.


Chiara RUBESSI

Chiara Rubessi est enseignante-chercheuse en cinéma et design. Elle a soutenu sa thèse de doctorat à l’UGA-Université Grenoble Alpes (2016) sur le thème Scénographie et esthétique : étude sur la conception de l’espace cinématographique. Elle a été chargée de cours à l’Université Jean Monnet-Saint-Étienne, Politecnico di Milano, POLI.design de Milan et à l’Université de Lorraine-IECA, Nancy. Les recherches actuelles de Chiara Rubessi portent sur l’étude de dispositifs spatiaux dans les arts visuels et le design. Elle s’intéresse également aux médiations culturelles mises en œuvre dans l’espace public, les musées/expositions et les lieux de création et de projets avec un intérêt pour l’étude des pratiques liées aux dispositifs numériques et la façon dont ceux-ci prennent place dans la scénographie globale de ces structures. Auteure de textes critiques sur le cinéma, le design et les arts visuels. Parmi d’autres publications, on peut mentionner :

2020 Rubessi, C., « Le display comme dispositif de réception dans l’exposition photographique », in Revue Focales-La photographie mise en espace, no. 4, ISSN 2556-5125.

2019 Rubessi, C., « Un dispositif d’art-spectacle: autour de l’exposition Edward Hopper », in Simulations du monde. Panoramas, parcs à thème et autres dispositifs immersifs, MētisPresses, Genève, ISBN 978-2-940563-47-0.

2017 Rubessi, C., « Le phénomène ‘carte blanche à un designer’. Pratiques de communication dans le musée MUDAC », in Revue MEI « Médiation et Information » Design et communication, no. 40, L’Harmattan, ISBN 9782343023748.

Profil académique


Nicoleta ȘERBAN

Docteur en histoire (Université de Bucarest) et en sciences sociales  (Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales), Nicoleta Șerban a soutenu en 2014 une thèse de doctorat sous la direction de Lucian Boia et Sabina Loriga  – Mémoire collective et l’identité urbaine :Monuments publics dédiés aux hommes politiques et aux personnalités historiques à Bucarest.  Elle est titulaire d’un master en idées et mentalités et elle a suivi les cours de l’Ecole Doctorale Francophone en Sciences Sociales.

Ses intérêts de recherche portent sur la mémoire du communisme, la vie quotidienne, l’espace public mémoriel, l’exil roumain.

Publications récentes : « Acțiuni de protest ale țărilor socialiste împotriva planului de sistematizare rurală din România (1988-1989). Tensiuni între Ungaria și România », Anuarul Institutului de Investigare a Crimelor Comunsmului și Memoria Exilului Românesc, vol. X, 2015 (« Actions de protestations contre le plan d’amenagement rural en Roumanie (1988-1989). Tensions entre la Roumanie et la Hongrie », Annuaire de lInstitut d’Investigation des Crimes du Communisme et de la  Mémoire de l’Exile  roumain, vol. X, 2015)

« Românii din exilul american și poziția lor față de proiectul de sistematizare rurală (1988-1989) »,  Studii și Materiale de Istorie Contemporană,vol. XV, 2016 (« Les Roumains de l’exile americain et leur position vis-à-vis du plan de systématisation rurale (1988-1989) », Etudes et materiaux d’histoire contemporaine, vol. XV, 2016)

Mihaela STĂNICĂ

Chargée de cours à l’Université de Bucarest, la Faculté des Langues et Littératures Etrangères, le Département de Langue et Littérature Françaises, titulaire d’un doctorat en philologie,  Mihaela Gabriela Stănică explore, dans ses  recherches, la construction culturelle du genre binaire, tout comme les stratégies  de subversion des normes corporelles. Particulièrement intéressée par la figure de l’hermaphrodite, on peut retrouver les résultats de sa thèse doctorale consacrée à ce personnage problématique, dans le livre paru en 2015, Au-delà du regard ; représentations du corps hermaphrodite chez Huysmans (Bucureşti, Editura Universităţii din Bucureşti). Actuellement, elle est membre du projet de recherche  Les représentations de l’étrangère dans la littérature et l’art cinématographique au Maghreb, du centre de recherche Heterotopos de l’Université de Bucarest et du centre CORPUS (International Grooup for the Cultural Studies of the Body).

Parmi d’autres publications récentes, on peut mentionner :

« La fabrique de la femme ou le genre à l’épreuve de l’imaginaire communiste », RSCDLLF, 3 /2014, 57-50 ; « Représenter l’ambiguïté dans l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert », L’Hermaphrodite de la Renaissance aux Lumières, Gallimard, Paris, 2013,  pp.91-111 ; « La dictature du regard. La construction du corps hermaphrodite à la fin du XIXème siècle », Bulletin du Centre de recherche français à Jérusalem, no 24 /2013, URL : http://bcrfj.revues.org/7200 ; « La reconstruction du corps hermaphrodite dans les traductions en français des Métamorphoses d’Ovide », Langage(s) et Traduction, Editura Universităţii din Bucureşti, Bucureşti, 2012, pp. 255 -263, ISBN 978-606-16-0114-1 ; « Comment représenter la transgression du genre – l’hermaphrodite dans l’œuvre de Huysmans » in  La Décadence ou une esthétique de la transgression Nordlit, no 28, 2011, ISSN 1503-2086, pp. 197-210, http://septentrio.uit.no/index.php/nordlit/issue/view/187 ; « Le corps hermaphrodite à la fin du XIXème siècle. Transfert et représentation », Analele Universităţii din Craiova. Seria Ştiinţe Filologice. Langues et littératures romanes,  2010,  pp. 75-88, ISSN 1224 – 8150, 2010 ; « Du corps hermaphrodite au corps féminin – une représentation défectueuse » Studia Doctoralia, vol.22, Editura Universităţii din Bucureşti, Bucureşti, 2008, pp. 240-248, ISBN 18433537.


Andreea ȘTEFAN

A compléter.


Elena Emilia ȘTEFAN

Elena Stefan est docteur en histoire ancienne de l’Université de Bucarest. Parmi ses thèmes d’intérêt se trouvent l’histoire Gréco-romaine, l’épigraphie latine, les réactions des anciens face aux catastrophes naturelles et la réception de l’Antiquité à l’époque moderne. Elle a participé à des colloques et a publié plusieurs articles sur ces thèmes.

 

 

 


Andreea ZAMFIRA
Andreea Zamfira est titulaire d’un doctorat en sciences politiques et sociales de l’Université de Bucarest et de l’Université Libre de Bruxelles (2010). Depuis 2017, elle est assistante universitaire à l’Université « Lucian Blaga » de Sibiu. Antérieurement, elle a occupé le poste de chargée de cours à l’Université de l’Europe de Sud-Est Lumina de Bucarest (2010-2016) et a donné des cours également à l’Université de Bucarest (Faculté de Sciences Politiques et École Doctorale Francophone en Sciences Sociales). Andreea Zamfira est en même temps chercheuse associée du CEREFREA/Centre Régional Francophone de Recherches Avancées en Sciences Sociales (depuis 2014) et collaboratrice scientifique du CEVIPOL/Centre d’Étude de la Vie Politique, Bruxelles (depuis 2006).

Son premier ouvrage, fondé principalement sur la recherche doctorale, a été publié sous le titre Une sociologie électorale des communautés pluriethniques (L’Harmattan, Paris, 2012). Parmi ses publications les plus récentes: Andreea ZAMFIRA, Christian de Montlibert et Daniela RADU (eds.), Gender in Focus: Identities, Codes, Stereotypes and Politics, Barbara Budrich Publishers, Opladen & Berlin & Toronto, 2018; Dragoș DRAGOMAN, Andreea Zamfira (eds.), Politics and Society: Perspectives on Democracy and Governance in the 21st Century, Éditions de l’Université ”Lucian Blaga”, Sibiu, 2017; Andreea ZAMFIRA, « Germanii din România la televiziune publică după 1990 », in Ovidiu OLTEAN, Remus ANGHEL, Christian SCHUSTER (eds.), Reinventând Germanitatea. Etnicizare, mobilitate și împrumut cultural la marginea Europei, Tritonic, Bucarest, 2018; Dragoș DRAGOMAN, Andreea ZAMFIRA, « 2016 Romanian Regional Elections Report », Regional and Federal Studies, Vol. 28, No. 1, 2018, pp. 295-408; « Methodological Limitations in Studying the Effect of (Inter)ethnicity on Voting Behaviour, with Examples from Bulgaria, Romania and Slovakia », Erdkunde, Bonn, Vol. 69, No. 2, 2015, pp. 161-173; « Altérité, identité, interculturalité. D’un concept réifié et réifiant à une approche interdisciplinaire et dynamique de l’ethnicité», in Rodica Zane & Philippe Claret (dir.), Les sciences humaines et sociales dans les sociétés en transition. Recueil d’études et témoignages en hommage à Pierre Bidart, Editura Universităţii din Bucureşti, Bucureşti, 2015, pp. 407-421.

Domaines de recherche actuels :

– Les Allemands de Roumanie dans l’imaginaire socio-culturel et médiatique

– Les Allemands de l’Europe Centrale et Orientale: identités locales, identités transnationales

– Les minorités ethno-culturelles pendant le régime communiste

– Partis ethniques, comportement électoral dans les communautés multiethniques